Une journée en voiture au Parque Natural das Serras de Aire e Candeeiros

Hello la Compagnie Créole, mon départ du Portugal arrivant à grands pas, je ne passe plus une journée sans visiter/découvrir un bout de ce pays si majestueux – oui, majestueux. (Et je pèse mes mots. Vraiment.)

Hier, après quelques tentatives avortées, nous sommes partis avec mon acolyte colokyte en voiture de location découvrir les terres du Parque Natural das Serras de Aire e Candeeiros. Dans mon périple fatimesque, j’avais déjà pu découvrir le nord est de ce parc et la beauté avait été telle, que l’envie d’y retourner se faisait sentir.

Parés de notre Hyundai mobile après une épopée épique (insérer la figure de style utilisée), nous partons direction Rio de Maior.

Premier stop donc : Salinas de Rio de Maior

Le village est d’ailleurs construit autour de cette passion salée et les petites cahutes aux alentours sont bourrées d’un charme insoupçonné.

En voiture Simone, fais chauffer le moteur Marcel, le trajet qui suit, sur les routes qui rejoignent Alcobertas, n’a été que dialogue en onomatopées. Les villages traversés étaient beauté, charme et magnificence. Je n’ai pu prendre aucune photo des maisons, des granges, des bergeries aperçues mais tout est gardé dans ma tête, tout comme les multiples fleurs dont elles étaient ornées.

D’ailleurs, non loin d’Alcobertas, nous nous sommes arrêtés et une magnifique vue nous attendait.

S’en sont suivis d’autres stops photos/pipi/café… parce que le plus cool avec les Portugais, ce sont leurs petits cafés même dans les villages les plus paumés.

Pour le retour, nous n’avons pas voulu reprendre l’autoroute. Nous avons donc roulé sur la N242 et avons rejoint São Martinho do Porto, jolie ville balnéaire, où une délicieuse platée de riz aux fruits de mer nous attendait.

Et sur le chemin du retour, le soleil s’est couché et est subitement tombé…

Avant de rejoindre l’autoroute pour terminer cette belle journée, nous sommes passés dans Obidos et cette ville sera très probablement le récit du prochain billet…

Isaurement vôtre.

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