Aujourd’hui, c’est le Black Friday.
Il y a encore quatre ans, en France, comme en Europe, on s’en tapait. Mais nos amis américains et leur consumérisme à outrance nous ont apporté cela.
Après nous avoir volé Saint Nicolas, pour créer le Père-Noël et toutes les supercheries autour, ils ont voulu être gentlemen et nous amener le-jour-où-les-réductions-tombent-alors-que-l’on-n’a-besoin de rien. (insérer : besoin de rien envie de toi)
Ce serait pas un souci, pour moi, si la planète n’était pas en train d’imploser.
Le Black Friday, c’est l’art de se créer des besoins. C’est l’art de produire, pour vendre – parfois, ne nous le cachons pas, à perte.
Profitons donc des ateliers clandestins encore plus que l’on ne le fait. Détruisons donc tous notre monde. La vie de l’Humain et des espèces animales et végétales ne pourra jamais être créée dans une usine au Bangladesh. Leur beauté, non plus.
Rêver devant notre nature enchantée, à quoi bon, si l’on peut tout avoir en réduction?
Tellement vrai ! ravie de découvrir ton blog c’est une jolie découverte 😊
J'aimeJ'aime
Ha merci! 🤗 Je me suis ruée sur le tien pour ton expérience stérilet au cuivre post pilule !
J'aimeAimé par 1 personne